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Si l'on en croit une récente étude scientifique, une femme qui fait l'amour produit une substance chimique qui provoque, en elle, une "laisse" affective... romantale et sentimentique dirais-je ;-)...
Ce serait elle (la laisse) la responsable des questions que se posent, malgré elles, les femmes... dès le "premier... rendez-vous" :
- Lui plais-je ?
- Est-il fidèle ?
- M'aime-t-il ?
- Est-ce la personne de ma vie ?
- Va-t-il vouloir me revoir ?
- Où va aller cette relation ?
- Vais-je plaire à sa famille/amis
- Vais-je l'épouser ?
- Combien aurons-nous d'enfants (lol) ?
- etc.Bon ben... je vous LAISSE... j'ai du travail d'introspection à faire ;-)
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Un sondage fait dans les plus grandes villes en France, dresse la liste des fantasmes féminins des françaises âgées entre 20 et 35 ans (!!!) :
A l'une des questions :
"Pour vous, faire l'amour sur une plage au clair de lune ?..."..."ça" répond :
Déjà fait : 17 %
J'y pense parfois : 13 %
J'aimerais le réaliser: 30 %
Ca ne me dit rien : 19 %
Jamais pensé à ça : 21 %(...et je vous épargne les détails et les autres questions, bien (plus) trop tristes quant aux résultats !!!)
Je suis accablée...
A quoi pensent, lorsqu'elles sont au bord de la plage au clair de lune... les 21 % par exemple ? aux poulpes à mettre en friture pour le déjeuner du lendemain ?
Ah oui ! peut-être, tout simplement, évitent-elles le bord de plage dès que "tombe la lune" ? Mince alors!... pfffff ces histoires de loup-garou ça a foutue en friche la sexualité des franchouillettes (pleurons !!!).
"Dites-moi-pas que c'est pas vrai ?" (comme dirait Jamel D.)... non mais? dites-moi-pas que y'a pas (pour la majorité) d'autres terrains de jeux que le "bon" vieux pieu ?
Du coup, les pauvres enquêteurs ont laissé tomber les questions du genre : et dans un parc public ? et en plein concert à ciel ouvert (lol) ? et sur la table de la cuisine ? et... et... et... et... et... et... et... et... et... et...
Heureusement... il reste les "17%" et les "35 et +" ;-)
Bonne nuit.
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Vwowouah !!! quel canon c'tte nana-là !
Et au moins ELLE, même pas refaite (non, non, ça se verrait) : bouche naturelle parfaite, seins moyens d'origine superbes à point ni trop petits ni gros, beau petit cul, chevelure de rêve, yeux ensorceleurs... allure mortelle... j'l'adore... et indépendante comme une tigresse en plus !
Putain le petit Pitt il doit pas s'ennuyer (bon, j'admets, elle non plus !)... encore que ça ne veut rien dire, je sais... si ça se trouve, c'est même pas un "bon coup"... ni lui !!!
Mais bon, vous et moi, on ne le saura jamais, alors rêvons !!! ;-)
Merde ! Beaux, jeunes, riches, célèbres... l'est trop injuste la vie ! ouinnnnn sniffff.......
POURQUOI ils m'ont pas adoptée MOI hein ???Well... si Miss (très) JOLIE couchait dans mon lit, je n'irais pas dormir dans la baignoire... nan nan nan pas question... même pas au pied du lit... que nenni !
Hé ho... suis pas "lesbi" ok ?... heu en fait je crois juste qu'il y a une syllabe en trop dans ce mot.. (j'me comprends lol)... ben quoi ? j'assume... non, en fait j'assume que dalle... grande gueule que je suis ;-)
Allez, go, clic, splash, dodo !
Bon dimanche Blonglandais/es
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(humeurs...)
RENAUD
Dès que le vent soufflera
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme (tintintin)
Moi la mer elle m'a pris
J'me souviens un mardi
J'ai troqué mes santiags
et mon cuir un peu zone
Contre une paire de dockside
Et un vieux ciré jaune
J'ai déserté les crasses
qui m'disaient soit prudent
La mer c'est dégueulasse
Les poissons baisent dedans
Dès que le vent soufflera,
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Au dépourvu, tant pis
J'ai eu si mal au coeur
Sur la mer en furie
J'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J'me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
Ca m'a coûté des sous
C'est d'la plaisance, c'est l'pied
Dès que le vent soufflera,
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
Oh Oh Oh Oh Oh Hisse et Oh Oh Oh
C'est pas l'homme qui prend la mer,
C'est la mer qui prend l'homme
Et elle prend pas la femme
Qui préfère la campagne
La mienne m'attend au bord,
Au bout de la jetée,
L'horizon est bien mort
Dans ses yeux délavés
Assise sur une bite
D'amarrage elle pleure
Son homme qui la quitte
La mer, c'est son malheur
titititut...
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allerons
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Comme on prend un taxi
Je f'rais le tour du monde
Pour voir a chaque étape
Si tous les gars du monde
Veulent bien m'lacher la grappe
J'irai aux quatre vents
Foutre un peu le boxon
Jamais les océans n'oublieront mon prénom
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents souffleront
Nous nous en allarons
titititu...
Oh Oh...
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend d'homme
Moi la mer elle m'a pris
Et mon bateau aussi
Il est fier mon navire
Il est beau mon bateau
C'est un fameux trois mats
Fin comme un oiseau (hisse et ho)
Si Tabarly, Pageot,
Kersauzon et Riidel
Naviguent pas sur des cageots
Ni sur des poubelles
Dès que le vent soufflera,
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allarons
tititu...
C'est pas l'homme qui prend la mer
C'est la mer qui prend l'homme
Moi la mer elle m'a pris
Je m'souviens un vendredi
Ne pleure plus ma mère
Ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père
Je vis au fil de l'eau
Regardez votre enfant
Il est parti marin
Je sais c'est pas marrant
Mais c'était mon destin
Dès que le vent soufflera
Je repartira
Dès que les vents tourneront
Nous nous en allarons
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(frissons et larmouillettes... -salutaires ?-)
Avec le temps
Paroles: Léo Ferré
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie le visage et l'on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
avec le temps tout s'évanouit
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens
avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
on oublie les passions et l'on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps...
avec le temps, va, tout s'en va
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l'on se sent floué par les années perdues
alors vraiment
avec le temps... on n'aime plus...
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